Ce 5 octobre, la dernière étape pour cette année.
Il fait bon, pas de pluie pour ces 15 derniers kilomètres.


































Ce 5 octobre, la dernière étape pour cette année.
Il fait bon, pas de pluie pour ces 15 derniers kilomètres.
L’arrivée au col est assez particulière. Les derniers mètres sont en pente forte et puis on arrive sur un parking. Comme il y a du brouillard, on ne voit rien. Je me suis d’abord dirigé vers un premier établissement qui m’ont gentiment indiqué l’entrée de l’hospice. Ce sont des bénévoles qui sont à l’accueil.
Pour le repas du soir, le personnel de l’hospice ne mange pas avec les clients. Le repas était bon, il faut dire que l’on est pas difficile quand on est fatigué.
Les distance de sécurité y sont très bien respectées. Je mangeais avec une suissesse qui était à au moins 1,5 m de moi.. il y avait 7 clients. Un couple de hollandais qui font aussi la Via Francigena et 3 autres suisses pas très causants..
Il n’y a plus d’accès routier à partir du 15 octobre. Bizarrement, c’est en hiver qu’il y a le plus de clients. Il y a 200 lits. Ils viennent en raquettes ou peau de phoque en ayant garé leur voiture à mi chemin.
Il faut le faire, pour monter et aussi pour descendre en ski.
Il y a du brouillard et il pleut. Je décide de descendre par la route et pas par le chemin.
Ce soir, je loge dans une chambre d’hôtes très sympa ; l’abri à Echevennoz. Comme la trattoria de ses parents est fermée ce soir, Éric nous conduit à une pizzeria à qqes kilomètres.
La famille d’Eric a donc la trattoria, son frère en est le cuisinier. Eric s’occupe de la chambre d’hôtes et étant prof de gym, il donne des cours . Il est un sportif extrême . Il a participé plusieurs fois à la Tor des géants : 330km et 24.000 mètres de dénivelé positif….
Il joue aussi de l’accordéon
Après une bonne nuit, je suis fin prêt pour cette étape mythique, Napoléon y est passé avec ses armées…
Ma logeuse m’a indiqué la route pour rejoindre le chemin, j’ai suivi son conseil, mais pas jusqu’au bout. J’ai suivi les indications d’un panneau et de mon GPS. J’ai eu tort. Cela m’a coûté une descente et une montée supplémentaire…
Une marche plus courte aujourd’hui, 15 km et un dénivelé de 750m. Ma logeuse m’a dit que ça monte calmement et qu’il n’y aura pas de passage difficile. Une leçon est qu’il faut se méfier de ce que disent les logeuses.
J’ai rencontré les premiers marcheurs sur la Via Francigena : un couple d’hollandais qui ont démarré à Reims. Je suis le premier marcheur qu’ils rencontrent.
Ce 1 octobre, il est prévu 20 km avec 450 m de dénivelé positif. On verra ce que le GPS en pensera.
C’est le seul « restaurant « sur la route. J’ai bien fait de m’y arrêter. Le trajet suivant était costaud.
C’était une fameuse descente et donc une belle remontée pour rentrer.
J’ai de la chance avec le temps. Très franchement, certaines parties de mon trajet doivent être très difficiles et dangereuses en cas de pluie.
Je me demande comment font les marcheurs sans GPS, le trajet n’est pas toujours fléché, ils doivent certainement se perdre quelques fois.
Quelques questions sur la Suisse : que veux dire : parc? Quelle est la viande servie en Suisse que l’on trouve très rarement en Belgique ?
Mon GPS a indiqué 22 km, 975 m de montée pour cette journée.
Ce 30 septembre, 18 km sans difficulté particulière.
Encore une étape sur le plat.
18 km toujours sur le plat, c’est un bon entraînement pour les montées à partir de vendredi.
Ce 28 septembre, la journée démarre au bord du lac. C’est très joli. Je n’ai pas vu de fumée sur l’eau ni de flamme dans le ciel, pas plus que de violet foncé.
Une journée de transition de 20 km sur du terrain plat.
Non, je n’ai pas parcouru 55 km à pied ce 27 septembre..
Je n’avais pas envie de marcher dans la banlieue de Lausanne , j’ai pris le funiculaire qui était à 20 m de mon hôtel ( il s’appelle le Funi!) et ensuite le train pour Lausanne . Voici 26 km rapidement parcourus.
Arrivé à Vevey, passage à l’office du tourisme. Pas de logement qui me convient. Ils me trouvent un hôtel à Montreux. Et je prends le trolleybus pour Montreux.
J’ai oublié de vous montrer une première rencontre avec les spécialités gastronomiques suisses le papet vaudois.